A la une

Vendredi s’en est allé un mardi

Michel Tournier disparaît un mardi, alors que le Vendredi était l’emblème de ses deux romans éponymes. Aimé de tous, le jeune Goncourt s’en va, pris par la tourmente de ce début d’année qui en voit tant d’autres s’en aller.

Michel Torunier est à relire, ou à lire tout simplement.

 

 

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.