Je confirme : Christian Vellas n’est pas un cannibale ! Mais un défenseur des animaux.
Son dernier livre « Qui a mangé mes enfants » fait la démonstration, par la fiction, de ce que nous faisons subir aux animaux dans les élevages… sans en être souvent conscients. Bonne chance au livre ! Et bien sûr bonne vie à France-Loisirs qui nous permet de voir les entretiens qu’on a manqués pendant le Salon!
Ce livre est bien plus que Christian Vellas n’en dit : c’est un conte philosophique plutôt cruel et drôle tout en même temps. Orwelliens sur les bords et 18ème siècle français en même temps. Ce n’est peut-être pas le meilleur livre à lire aux enfants le soir avant de les border, mais juste avant de passer à table on peut faire l’essai !
`Bravo à l’auteur !
Christian Vellas n’est pas un cannibale ! Mais un défenseur des animaux.
Son dernier livre « Qui a mangé mes enfants » fait la démonstration, par la fiction, de ce que nous faisons subir aux animaux dans les élevages… sans en être souvent conscients. Bonne chance au livre ! Et bien sûr bonne vie à France-Loisirs qui nous permet de voir les entretiens qu’on a manqués pendant le Salon!
Je confirme : Christian Vellas n’est pas un cannibale ! Mais un défenseur des animaux.
Son dernier livre « Qui a mangé mes enfants » fait la démonstration, par la fiction, de ce que nous faisons subir aux animaux dans les élevages… sans en être souvent conscients. Bonne chance au livre ! Et bien sûr bonne vie à France-Loisirs qui nous permet de voir les entretiens qu’on a manqués pendant le Salon!
Ce livre est bien plus que Christian Vellas n’en dit : c’est un conte philosophique plutôt cruel et drôle tout en même temps. Orwelliens sur les bords et 18ème siècle français en même temps. Ce n’est peut-être pas le meilleur livre à lire aux enfants le soir avant de les border, mais juste avant de passer à table on peut faire l’essai !
`Bravo à l’auteur !
Christian Vellas n’est pas un cannibale ! Mais un défenseur des animaux.
Son dernier livre « Qui a mangé mes enfants » fait la démonstration, par la fiction, de ce que nous faisons subir aux animaux dans les élevages… sans en être souvent conscients. Bonne chance au livre ! Et bien sûr bonne vie à France-Loisirs qui nous permet de voir les entretiens qu’on a manqués pendant le Salon!